30 dic 2008

Musica es lo que sobra. en idioma francés

MARDI 5 AOUT 2008

Interview au musicien Raúl Ciro avec les thèmes de Superavit « Musica es lo que sobra » :

interview à Raúl Ciro Par L. Santiago Méndez Alpizar / Chago

Cette conversation me fait ressentir inévitablement une certaine nostalgie, car je l’associe à un moment et à un lieu, à une certaine soirée à la Havane et à 20 ans en arrière comme si j’ai toujours eu besoin de partager l’espace ou la possibilité.Plus tard et avec l’age, la participation de « Superavit » au disque « Habana Oculta » m’a paru, à mon avis, la meilleure.Mais, cela restait pour autant une production modeste, le premier pas pour arriver jusqu’à un grand producteur.Je vais jusqu’à certaines lagunes qu’il est possible de partager avec d’autres.
- Pourquoi « Superavit » de « Habana abierta » ne participe-t-il pas vraiment ? Et bien, premièrement, « brother », merci beaucoup pour engager cette discussion. A cet instant, je suis comme un adolescent qui vient d’avoir son BAC… Maman, viens vite, on passe à la télé !Aujourd’hui par chance, je n’ai pas deux « Alhambra » (bières) dans la tête…, c’est le jour de changement de films et j’ai tout préparé dans la cabine de projection, 12 H 55. A propos de « Superavit » qui n’a pas participé, premièrement, le concert Habana Oculta à La Casa de las Americas 1996 peut-être…enfin bon, il y a plusieurs versions. On a dit aussi nous nous sommes auto exclus, mais aussi que j’ai donné par erreur le numéro de téléphone erroné de Manuel Dominguez à Carlos Santos. Je me rappelle aussi ; mais je n’y ai pas fait très attention ; que Boris, mon frère, m’a dit quelque part dans une maison que je ne situe plus aujourd’hui : -« Brother, tu vas rester dehors… », ou quelque chose comme çà. Putain ! A cet instant il avait raison, une chance qui ne me faillit pas aujourd’hui ! Moi, nous, Alejandro Frómeta et Carlos Santos, nous étions envieux qu’à propos de Habana Oculta, se concrétisa avant un contrat ; ainsi nous nous sommes manifesté et ainsi cela est arrivé.Je crois , qu’aujourd’hui, en ayant une chance comme celle-ci, je ferais la même chose, mais l’industrie du disque est morte. Vive l’industrie ! -« Verde Melón », fut un disque reconnu par la critique, commenté avec des mots élogieux de Juan Formell inclus dans les sous-titres. Je voudrais que vous me parliez un peu de cette fascination que beaucoup ressentent de sa quinte pour le son Van Van. Ecoute, si cela ne te dérange pas, je voudrais que tu me tutoies, OK ? Sans problème, non ? Et bien… Verde Limón … Melón, peu importe… « Agua pa los trabajadores ». Ce jeu de mots génial introduit par Juan Formell a été le résultat indispensable, et très efficace de Darsi Fernandez, SGAE Cuba, la belle Darsi, et l’amie.(Ici, retentit dans ma tête une version idéaliste de « Kashmir » des Zeppelin…je vois Victor Bencomo en train de sourire). Curieusement, une des rares fois qu’ils nous ont invité au programme du samedi « Contacto chico, contacto » , dirigé par un autre ami important, René Arencibia, la source, nous avons coincidé avec Van Van. Nous, nous étions en train d’essayer de donner du piment à Verde Melón.Enfin, tu sais, la lutte…Brother, au moins pour moi, car je n’ai jamais fait parti de l’élite, ni de la grande scène. Je ne me dis pas pour autant, quel dommage…je me suis rendu compte que lorsqu’ils ont interviewé « Juanito », il il ne se souvenait même pas du track « Mi ritmo caliente », et cela ne lui a pas paru indispensable nous en fassions une version .Tout cela s’est passé sous mes yeux.Plus tard, ils étaient en train de découper un cake, et je me suis approché du maître pour lui offrir une cassette de « Perfume de Mujer » et « Anima Mundi », dans son étape d’Abelito. « C’est seulement de la musique » je lui ai dit « c’est pour vous ». Il n’y a pas besoin d’expliquer beaucoup pourquoi nous adorons tous le son Van Van mais personnellement j’ai toujours été un manipulateur opportuniste. Ce qui m’a assez déplu, c’est que Kurt Cobain,Nirvana, avec son ; enfin je crois ; « Smells like teen spirit », ou « Come as you are » m’a rappelé quelque chose de mon enfance. J’ai couru directement pour écouter un vieux vinyle qu’il y avait dans le salon chez Xiomara et Angel, les parents de Frometa et Gelín. Ici était l’idée, « …les gens, que veulent les gens », si tu analyses la mélodie que nous avons rajouté, la structure, et par-dessus tout la partie géniale de Pablo « El Negro » Herrera, et le solo de Carlito…et bien mon frère, il n’y a rien à redire. N’importe quel père serait fier mais comme dirait « El Cubillas » : « La vie… ».Pour ma mère cela lui plaisait de me répéter que je dépensait une grosse quantité de pesetas cubaines, celles de Camilo en mettant inlassablement « La Compota de Palo » étant encore un enfant dans les juke box. Mais en restant un peu plus honnête, je crois me rappeler que ce qui m’a beaucoup plus surpris ce fût le fan n° 1 des géniaux Van Van, le noir Julián ; le petit ami Fabiana, la sœur de mon ami Alejandro Werthein. -Malheureusement les médias nous bombardent plus en plus de la mauvaise musique. Je dis de la mauvaise musique et je pense à une horde de 40 criminels en puissance. Cependant, il y a toujours quelqu’un pour me rappeler que celle-ci fait partie de la diversité. Même si je continue à penser que ces derniers n’ont pas de jugements précis sur les médias, et qu’ils ne sont pas prêts à ravaler leur honte et la laisser de côté, ainsi ils passent directement à la vitesse supérieure en faisant le double de travail pour obtenir une reconnaissance de leur œuvre. La télé, et la radio, les théâtres sont remplis de médiocrité. Mais, d’un autre côté, on peut chaque fois un peu plus maintenir une autonomie, une indépendance et survivre, enfin difficilement survivre. Tu as une œuvre totalement underground, produite par toi-même. Parle-nous de ce que je t’ai commenté et de ton expérience. Et bien, mon frère, ceci est un thème compliqué…Il y a 3 ans je pensais terminer un thème dont le titre était « Pasando los Cuarenta ». Maintenant, cela m’importe peu, je ne pourrais pas dire que je suis le dernier de la liste, mais non plus que tu pourrais chanter avec moi. Enfin, personne ne va m’en vouloir, « Cela, çà ne fait pas vendre… ».Tous les systèmes ont leurs règles. Curieusement Luis Alberto Spinetta, lorsqu’il était très jeune, avait participé à un concours télévisé. Il n’y a pas besoin d’attacher beaucoup d’importance à ce qui se dit dans la précipitation, ni nous considérer comme des ignorants… (« Ce ne sont seulement que 4 Elvis … »). L’histoire ne nous absoudra pas, ce n’est pas cela son but, simplement elle posera les dates à sa convenance, ou non, celui qui dicte ou gère, mais avec le temps il se peut qu’elle nous observe avec un œil objectif. -Il y a quelque chose que l’on peut remarquer ici, en Espagne, avec les musiciens. Un grand nombre de stars se font accompagner par d’autres musiciens cubains. D’Alejandro Sanz à Paco de Lucía, ils ont tous un goût créole. Mais c’est comme si eux seuls, ils ne pourraient pas réussir à accompagner ces grandes figures, qui nous le savons, ne sont pas rien. Beaucoup d’entre eux ont une œuvre qui dans la vie réelle et excepté quelques rares occasions, comme le maître Flamenco, est plus intéressante et riche que celle de ces figures dont on parle tout le temps, ou aux arrangements de thèmes ; celle qui reste dans la tête du public et qui triomphe, et qui est souvent chanté avec des mots fréquents. C’est autant rare de voir un torero noir, que de voir un musicien cubain résidant en Espagne en mettre plein la vue aux médias.Brother, pourquoi tu te mets dans cet état… Regarde, à Carrefuuú, ils vendent une confiture de goyave, de mûres en sachet. Le supposé fatalisme géographique n’est pas comme ce qu’ils nous ont expliqué à l’école. J’ai vu des phrases en slogan comme « el culto a la vida… » loin de rhum Bacardi. Il faut, je crois ; comme dirait mon défunt père, le grand Raúl Gumersindo, la troisième base ; piller le nord : nous devons nous réorienter. Le conte de fée est terminé. Cela nous coûtera mais peut-être est-il encore temps. Ce qui est clair, c’est que l’on ne nous accordera pas de pause, les bougies sont consumé. L’argent appartient à la banque, ah ! Quelles sont belles les fleurs ! -Vous êtes un amoureux du rock argentin, selon ce que j’ai compris. Et ce que je vous ai commenté a tourné en conversations entre amis. Mais revenons à cette manière particulière d’interpréter tes chansons. D’où te vient cette façon de chanter ? J’ai une théorie : vous êtes imprégné totalement du flaco Espineta. Vous avez mélangé Charly, qui selon moi est le meilleur rockeur hispanique, avec matamoros et toi seul, me le diras… Oui, la vie c’est comme une pièce de monnaie.Certains disent que je suis fou, que je préfère les chansons idiotes… « Que vais-je faire si tu t’en vas », « Tout prend une autre direction comme une balle ». Nous allions Vanito, Boris, Mario Incháustegui, Frómeta et moi, chez un ami (Mon Dieu, quelle honte, je ne me souviens plus de son prénom. Nous avons étudié ensemble à la Faculté de Langues…désolé, man). Enfin bon ! Nous étions quasiment à Pogolotti, (çà s’écrit comme çà) nous voulions enregistrer une cassette personnalisée pour la Casa de las Americas, relative à notre Canción Propuesta , de 1992. Nous vaquions à nos occupations. Soudain, un camion est passé rempli de gens, et ils nous ont crié à pleins poumons : - « Regardez, les BITLES… ». Après quoi je n’ai même pas ouvert la bouche. Cela aurait pu être pire…où plutôt, plus juste « FITO PAE ! » « Anteojos de Carey, Auriculares en la sien… » « Lago de forma mía » sont des références pour moi. J’ai cru que rien ne résisterait à une attaque de l’art. De plus, il faut avancer en expliquant chaque chose… »Ne me reprochez pas d’être comme çà…car tu m’aimes, tu m’aimes, tu m’aimes ». Je n’avais jamais fait attention au nom farfelu de ce trio génial (Putain ! quasiment « matarratas » …). Aquí donde usted me ve, j’ai eu l’incroyable chance de trouver dans un tiroir rempli de disques chez Alejandro Werthein, beaucoup plus que cette cassette soit disant manuscrite de 1985 : « 20 años de Rock argentino ». Mais aussi découvrir la stéréo dans ce walkman, avec la musique de Vicky Car, la préférée de Julián et Ernesto…Je suis né en 64. Cœur de craie. J’ai l’illusion de ta vie pendant une journée. -Je vous vois utiliser certains moyens d’internet. Je vois aussi les vidéos qui se réalisent entre votre amie et vous. La poésie se créé avec rien. Des sites comme Myspace ou Youtube sont visités constamment à tout heure. Parlez-nous de cette avalanche de Bloggers cubains qui se sont profilés sur le Web. Moi, je le dirais d’une autre façon, et non pas pour te contredire, seulement pour en rajouter, même si cela ne se voit pas.Non, le meilleur ce serait un autre rendez-vous avec Ariel Cubillas : « Tu vis dans ton propre Paradiso ».Cela me semble génial que nous ayons autant de moyens pour laisser une empreinte. Après, il faut juste rester alerte. Quelques fois, j’en suis arriver à penser qu’entre tant de saturations d’offres, le mieux ce serait de ne pas être accessible. Cela me parait souvent le plus honnête. Ceci me rappelle qu’il y a toujours quelqu’un qui sera prêt à prendre ta place. « Tout est susceptible d’empirer… ».Et, en étant encore plus honnête, j’ai pensé que, dans mon cas, avoir autant le besoin d’attirer l’attention, de participer, ou de donner son avis avec des prénoms et des noms, pourrait s’interpréter comme une pathologie rare, pour cataloguer. Mais je me soulage de ne pas être le seul, il y a quelque chose de plus qui vibre que la patrie. Cela est sain, nous sommes en train de le vivre, il n’y a pas à attendre beaucoup plus, nous le vivons comme une attaque sans armes. Cette fois il n’est pas question de sang : ce ne sont que des mots, des réflexions, des bombes, ni des conversations politiques. -Vous vivez aux environs de l’Albayzín, le vieux Grenade, Al Andalus. Berceau du métissage et des airs flamencos. Vous avez sûrement un chemin dans cette ville, quelques endroits que vous inviteriez sûrement visiter. Non, Brother. Tu vois, moi je vis avec ma Susana (et Antonia ou d’autres amitiés non félines - Bendito Jose Luis Estrada) à Cajar, à 5 km de Grenade. Auparavant, c’était un quartier, un village de riches, où ils avaient tous leurs résidences secondaires. Maintenant, tu sais, il y a plus d’un « paysan recensé » à la mairie, et moi le premier. Depuis ma terrasse hypothéquée, si tu oublies les nouveaux toits envahisseurs, tu peux voir et profiter, surtout la nuit, de l’Alhambra illuminée. Jose Luis Medina sait de quoi il parle. A cette distance, presque toujours parcourue en voiture, ou d’autres fois en vélo Carrefuuú, On peut ressentir la première impression que cette ville évoque, la plus douce, parfaite. Marcher dans El Paseo de los Tristes en oubliant l’absurde trafic à moteur, inaudible, et tu oublies tout en regardant les chats du lit de la rivière Darro. Là-bas, çà sent autrement, il n’y a pas autant de « merde » ou de chiens qui urinent marquant leurs territoires.4Esteban maraude, je le sais…cela peut paraître un lieu commun…si je devrais comparer, je préfère l’ombre de Séville, le débit prodigieux…Mais, mon frère, le meilleur, c’est toujours, presque toujours sûr, les amis, ce sont eux qui font les villes…Les rencontrer, les revoir, les cultiver, c’est un art, un bon travail. Susana te dira qu’elle préfère les orgasmes du Corte Inglés, de Mercadona, ou de Carrefuuú, les soldes…, mais elle ment (si tu saurais comment je feint, c’est un ange). Nous pourrions passer la nuit à faire la route des tapas…(les natifs semblent presque toujours te rendre service… »de bonne foi »). Moi je préfère, lorsque je suis tranquille, fier d’être en vie, aller à une boutique de livres et de vieux disques qui se trouve dans la rue San Jerónimo, elle s’appelle Recyclage, je crois, et fouiller pendant un moment. Comme dirait Boris : « Putain ! si tu as toute la discographie…originale ». Ne t’en fait pas le mieux serait éviter d’aller à certaines heures de la journée au Mirador de San Nicolás, à l’Albayzin, pardon Arbisín (« Qu’est-ce que tu racontes ? ») lorsque tout cela se remplit de « Ding Dong » et de bandes. Les 1925 bien fraîches (plus de bières) et les vins rouges, selon la saison, ne manquent pas. Vas-y. « …cualquierita ». -Sur quel projet musical, est-tu actuellement en train de travailler et comment font ceux qui sont resté sur « Queso », pour réussir à avoir les disques antérieurs. En ce moment, et c’est une chance, je suis un travailleur sous contrat en règle, très bien rémunéré…La musique est « la bête noire » dans la famille. Je n’en ai jamais été fier dans ce sens, ni national d’ailleurs, imagines-toi… Maintenant, si nous valorisons les dates, à ce moment précis que nous vivons, malgré la crise…de l’industrie et d’autres tares, j’ai sorti mon premier simple, mon single qui peut-être sera, mais qui pourtant n’a pas de quoi réussir à l’être (pourquoi il ne faudrait rien conclure, pourquoi « un disque »). Mais si, celui qui le trouve est à lui, cela a toujours été…J’ai été à la portée de toutes les bourses…, je suis encore en train de tout ruminer. Il y a juste à frapper à la porte, une fois ouverte, enlève le chapeau si tu en porte un. Les Bloomers, non ce n’est pas nécessaire.Oui, le kérosène, ce que tu dis…ce serait pas mal un autre disque dans dix ans. La musique c’est ce qu’il reste…Ici, sont mes préférés Portishead, même si cette nouvelle livraison ne m’a pas beaucoup plus.Si cela n’a pas été clair/ celui qui veut quelque chose de moi a juste à me le demander. Ma psychologue, Ana Rejón, dit que j’ai besoin d’entendre des flatteries méritées. « Love, love, love… » -Je vous propose de continuer dans l’Histoire. Selon le visionnaire Joaquín Borges Triana, lors d’un adieu de clôture de la bande de 13 et 8, bande notable et de faible durée ; comme tout ce qui fût moyennement différent, contestataire ; dans le Cuba des années 80, 90, vous avez gravé la nuit en cassant la guitare en morceaux, des morceaux qui furent gardé par différents collègues. Ce n’était pas seulement des morceaux d’une guitare cassée, selon la lecture que j’ai partagé avec Borges Triana. C’était les morceaux d’un état d’esprit, des morceaux pour un échappatoire, ou quoi ? Brother, les années 80 ont été dures. Les années 50 aussi pour mes parents. Je ne voudrais pas que l’on revive une nouvelle année 29 en plein crack. « Si tu te tais quelque chose te trahira… » Il y aura toujours quelqu’un pour prendre ta place, si tu la méprises.Cette nuit-là nous nous sommes éclairés Mario Incháustegui, Frómeta, Vanito, Boris et moi avec un lampion chinois. Et au cas où le premier ne fonctionnerait pas, nous en avions un autre. Boris nous a protégé avec la chance de sa Santa Madre El Almandarés. Ceci ne f^^ut pas des au revoirs, ce fût un coup bas convenu. Ce qui est arrivé, c’est que l’ « institution » fût maligne, ils ne nous donnèrent pas de break…plus tard, la rose, l’épine.Frère, nous étions en une taille impressionnante, jusqu’à Frómeta et moi étions habillés avec des chemises, l’une noire et l’autre rouge, sue lesquelles ont pouvait lire devant en typographies différentes : Superávit.Dans notre dos des numéros différents, un 13 et un 8. Mais avec le temps, j’ai tout compris, « dans cette vie rien n’arrive par accident » (Voir Kung Fu Panda, quel divertissement, un film génial). Ceci était le stigmate : nous sommes nés sous ce signe.Le jour suivant, j’ai recommencé avec une nouvelle guitare, l’unique que j’ai et que je conserve. Je me rappelle que Boris était fier d’un des morceaux que nous avons joué cette nuit-là avec le symbole de notre grande prise de tête. Tout était super bien préparé, et de la même façon tout s’est brisé en morceaux pour passer la main à quelque chose de meilleur. « Un harpon, un perdreau, un plongeur, un chasseur… » -Merci pour cet interview et si tu veux ajouter un autre commentaire, c’est le moment. « C’est clair, c’est clair »… Rien de plus, sergent, A mort Batista !!! « Mon enfant en or brille à la fin ». Une accolade à toutes.

1 comentario:

Anonymous dijo...

pourquoi pas:)